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Tout brûler

La Ville brûle, 2024

« Un jour je partirai

ou je mourrai

je le répète dans mon journal à l’encre violette. »

Stella, protagoniste et narratrice, retrace les abus subis dans sa famille. Trente ans après les faits, elle décide de porter plainte, de dénoncer inceste et omerta, agresseurs et complices. Sa vie bascule. Aux yeux de sa famille et de la société, elle devient la personne par qui le mal est arrivé.

La Ville brûle en France, Belgique et Suisse.

LIBERATION

Dans une écriture clinique et poétique {...} Lucile de Pesloüan allume des pages incendiaires qui laissent un goût irrémédiable de cendre.

L'HUMANITE

En choisissant le vers libre et la version fragmentaire, Lucile de Pesloüan trouve la juste forme pour nommer la violence et aller droit au but.

Sophie Joubert

OUEST-FRANCE

Avec retenue, pudeur, poésie et justesse, Lucile de Pesloüan tient le lecteur en haleine.

Un premier roman qui donne le vertige.

Agnes Le Morvan

FNAC

Un véritable roman coup de poing.

Un roman incisif sur l'inceste.

Une voix forte qui dénonce les violences et les silences familiaux en utilisant le style poétique.

Un texte original et bouleversant au rythme effréné qui s'inscrit dans le combat "metoo" à découvrir absolument !

Patricia, Fnac Quimper

Librairie 

Les mots à la bouche

Puissant, dur et lumineux, sans appel mais pas sans espoir, une plume encore plus forte qu’avant.

Eva

Librairie

Le Hall du livre

WOW. Juste Wow.

Une histoire emplit de rage, à la plume tranchante qui ne vous laissera pas indemne.

La lecture de cet ouvrage est certes rapide, mais le goût amère qu'il vous laissera, lui, n'est pas prêt de s'en aller.

Marie

Librairie Longtemps

Ce titre est un énorme coup de cœur, un texte en vers libres d'une beauté à couper le souffle autant par son sujet que sa poésie. 

Libraire Vivrelire

Ce livre m’a profondément émue et marquée. Je l’ai lu et relu. J’ai déjà commencé à en parler. Invariablement, Triste tigre est évoqué alors j’en explique les différences et la complémentarité.

 

Blandine

Les libraires volants 

Un texte viscéral gorgé de d’injustice et de rage 

Et quelle belle fin…

Impossible de poser ce texte. Il est incroyable de force, de rage et de colère. 

Rose Berly

Aujourd'hui en France

L'autrice se saisit brillamment d'un sujet difficile, dans la lignée d'autres écrivaines auxquelles elle fait plusieurs fois référence dans cette oeuvre bouleversante.

Lucie Sol

Noemlire

Ce roman se lit d'une traite, impossible à lâcher, on est envouté.e par l'écriture, la brutalité des faits, la colère des mots. Quand on le referme, une phrase nous marque, elle nous reste, ne partira pas :

Protégez les enfants.

Noémie, libraire

Librairie M'lire Laval

Un roman qui se lit d'une traite grâce à sa forme en vers libres, ce qui permet de se prendre un vrai coup de poing rapide et dur. Malgré tout la fin est très lumineuse. 

Méline

ELLE Québec

Lucile de Pesloüan met des mots sur ce genre d'abus pour raconter l'impensable, pour tuer le monstre (enfin! et permettre aux suivantes de respirer; de se sentir épaulées, pour tout brûler et renaître de leurs cendres, comme toutes celles qui ont pris la plume ces dernières années... et jadis.

Claudia Larochelle

Un texte puissant à découvrir !Un premier roman tout en rage et en questionnement sur les abus sexuels et les familles dysfonctionnelles, sur la libération de la parole et ses conséquences également. Une forme en vers libres qui décuple la force du message et fait l’originalité du roman.

Arnaud

Librairie Paulines, Montréal

Rien n'existe de plus fort qu'un livre comme celui-là. Il n'y a pas de littérature plus puissante. J'ai été émue, indignée, enragée. Touchée, au-delà des mots. Mais ceux de Lucile sont heureusement plus forts, plus justes. Foudroyants. Il faut les lire. Absolument.​

 

Josianne Létourneau

Librairie Sauramps

Ouest-France

Avec retenue, pudeur, poésie et justesse, Lucile de Pesloüan tient le lecteur en haleine.

Un premier roman qui donne le vertige

Agnès Le Morvan

Vogue France

Lucile de Pesloüan livre un Tout brûler

pour se retrouver soi - et reprendre goût à l’autre.

Sophie Rosemont

Marie-Claire

Tout brûler, écrit en vers, est "une prise de puissance",

un flot de colère et un feu de joie.

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