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J'ai mal et pourtant ça ne se voit pas parle de santé mentale en textes et en images

J'ai mal et pourtant,
ça ne se voit pas...

Isatis, 2019

Résumé de l'éditrice

On peut souffrir de l’intérieur et n’avoir aucun bleu sur le visage, aucune ecchymose à montrer. Difficile d’imaginer ce qui se passe à l’intérieur, de voir la tempête et les fusées qui traversent nos pensées. Une vingtaine de personnages confient ici, en textes et en images, un petit moment de leur détresse avec le quotidien qui continue, inlassablement, de tourner autour. Un roman graphique qui aborde le thème de la santé mentale de manière intime et sans complaisance avec des illustrations poétiques et métaphoriques qui s’ancrent complètement dans la réalité.

Ce livre s’adresse à tous, autant ceux qui souffrent de troubles psychologiques et qui vont se reconnaître dans les personnages, que ceux en bonne santé qui ont du mal à comprendre la réalité des personnes en souffrance.

Illustrations : Geneviève Darling

RDI Matin / Ici Radio-Canada

« Une reconnaissance, un appui, un réconfort pour ce qui ne parait pas. […] Geneviève Darling, une illustratrice de grand talent offre des illustrations très sensibles, très révélatrices. […] Lucile de Pesloüan défriche, va là où d’autres ne vont pas, elle ouvre le dialogue, c’est précieux. »
Claudia Larochelle

Le Devoir

« C’est l’audacieux, pour ne pas dire l’irrévérencieux J’ai mal et pourtant, ça ne se voit pas… qui a remporté le Prix du livre jeunesse des Bibliothèques de Montréal. Le roman graphique […] aborde avec intelligence le sexisme ordinaire, les inégalités, la marginalité et le mal-être qui parfois plombent le quotidien de jeunes aux prises avec des souffrances psycologiques de diverses intensités. »

Gravel le matin / Ici Radio-Canada

« Un roman graphique qui parle de santé mentale, des problèmes qu’on peut avoir à l’intérieur et qui ne paraissent pas. […] C’est bien fait, c’est surtout très joli et accessible. C’est une bonne idée si vous avec quelqu’un dans votre entourage qui souffre de santé mentale. »
Evelyne Charuest

Bibliothèques de la ville de Montréal

« Des illustrations réalistes, réalisées à la plume, et peintes en aplats de synthèse bleus montrent des portraits de gens, plus ou moins marginaux, qui mêlent hommes et femmes, de manière à complexifier la souffrance au-delà de toute stigmatisation, qui serait bornée, par exemple, à l’apparence, au sexe, à l’âge ou à un style de vie… Des références bibliographiques complètent l’ouvrage. »
« Un roman graphique tout en finesse qui, pour étayer son propos, s’appuie sur des dessins, des illustrations poétiques délicatement bleutées ; une manière sans doute elliptique d’aborder le coeur du sujet : les bleus à l’âme, ces troubles psychologiques invisibles et les affres de ceux qui les subissent, en silence. […] 56 pages pour tenter l’expérience du partage… A découvrir assurément ! »

Huffingtonpost

«Les mal-êtres du quotidien, en images et en textes pour les dédramatise. […] Découpé en courtes fictions, ce livre raconte les douleurs, invisibles et quotidiennes, d’hommes et de femmes ordinaires. »

Revue les libraires

« Sans détour, cet album met en scène une vingtaine de personnages aux prises avec des tourments intérieurs. La récente collection «Griff» s’engage à prendre de front des sujets souvent tabous pour enfin les porter sur la place publique. Parce que fermer les yeux fait encore plus mal. »

Montréal pour enfants Magazine

« Ce roman graphique laissera son lecteur ou sa lectrice à fleur de peau tant sa lecture s’avère personnelle et intime. Avec ce magnifique ouvrage, le duo de créatrices aborde avec justesse et sensibilité les problématiques de santé mentale auxquelles font face les jeunes – et les moins jeunes.[…] Lucile de Pesloüan et Geneviève Darling ont su mettre en lumière l’invisible, ces états d’âme qui nous rongent et dont on n’ose rarement parler. Ce livre est un cadeau à toutes les personnes qui souffrent dans l’ombre. »

Librairie Fleury

« Le talent et la pertinence de ces deux créatrices n’est plus à démontrer : Pourquoi les filles ont mal au ventre a conquis les cœurs des libraires (entre autres !) depuis sa parution. Cette fois-ci, elles abordent, toujours dans une esthétique réaliste bicolore, et avec autant de lucidité et de sensibilité que dans leur album précédent, différents enjeux de santé mentale. Impossible de rester insensible aux situations fictives, certes, mais fortement inspirées de gens bien réels qui souffrent réellement. Cet album est un premier pas pour être plus à l’écoute et arrêter de remettre en question les souffrances qui ne se voient pas.»
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