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Tricoteuses et dentellières

Marchand de feuilles, 2024

Dans cet ouvrage collectif, découvrez les mailles de Karine Fournier, Agathe Dessaux, Dahlia Milon, Rachel Guindon, Rebecca Leclerc, Marie Darsigny, Audrée Wilhelmy, Perrine Leblanc, présentées par elles-mêmes ou sous la plume de Mali Navia, Orane Thibaud, Catherine Voyer-Léger, Zéa Beaulieu-April, Lucile de Pesloüan et Pattie O’Green. Ainsi que les magnifiques photos de Justine Latour.

Le tricot n’est pas uniquement un passe-temps de grand-mère. Pendant la Révolution française, des femmes enragées assistaient aux exécutions tricot à la main. Ces tricoteuses historiques se sont taillé une place dans les œuvres de Chateaubriand, Charles Dickens et même David Bowie. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des espionnes-tricoteuses assises dans des gares récoltaient des informations stratégiques ou encore encodaient des messages secrets dans des foulards et des bas. Aujourd’hui encore, plusieurs tricoteuses et dentellières assimilent leur pratique à un autre processus créatif comme l’écriture ou bien utilisent le tricot comme outil militant. 

Lucile de Pesloüan signe le texte Tricot et résistance.

LA PRESSE

Une courtepointe de textes qui, une fois assemblée, dresse le portrait d’une pratique qui, tantôt méditative, tantôt revendicatrice, est beaucoup plus qu’un passe-temps.

"Tricoter est un geste de résistance, militant et surtout très malin. Et ce sont les femmes qui ont découvert ça."

Lucile de Pesloüan, extrait du livre

Tricoteuses et dentellières

LE JOURNAL DE QUEBEC

Ces formes d’art ancestrales qui reviennent en force sont mises en lumières dans un magnifique recueil collectif, Tricoteuses et dentellières. On y apprend que le tricot n’est pas tout à fait un «passe-temps de grand-mère»: les tricoteuses sont aussi – ou ont été - des espionnes, des militantes... et de formidables créatrices.

LE DEVOIR

 

Le collectif Tricoteuses et dentellières donne la parole à des femmes qui s’aventurent sur les territoiresdu textile, chacune à sa façon.

Dans une société menée par la productivité, elles choisissent plutôt de revaloriser des pratiques de longue haleine, bien souvent boudées par les musées.

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